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Les points de cette coccinelle fusionnent généralement pour lui donner une allure de puzzle ambulant ...
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Quelques millimètres de pure énergie pour cette araignée capable de sauter pour s'enfuir ou capturer ses proies.
Les 4 gros yeux orientés vers l'avant sont une des caractéristiques de cette famille d'araignées sauteuses, les Salticidae.
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Une allure sympathique pour ce coléoptère mais ne vous y laisser pas prendre : vos lys le regretteraient !
En effet, il se nourrit des feuilles de cette plante.
La larve a une technique bien particulière pour se protéger des prédateurs et du soleil : elle se camoufle dans ses déjections.
Son menu de prédilection, comme l'adulte : le lys.
<----- larve sans protection
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Certainement la plus répandue de nos coccinelles indigènes et l'une des plus grandes, la coccinelle à 7 points peut atteindre 6 à 8 mm.
3 points sur chaque élytre* et un à la jonction des deux.
2 points blancs sur le pronotum et 2 près des yeux.
* élytre : n.m. Chez les coléoptères, les élytres sont les deux ailes antérieures qui protègent les ailes postérieures, celles qui servent à voler.
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En ce moment, dans les prés, on peut apercevoir de petits amas ressemblant à de la salive, appelés crachats de coucou.
Rien à voir avec l'oiseau du même nom ! Si ce n'est qu'il chante en ce moment.
Approchons-nous un peu ... Qui se cache là-dedans ?
Ce sont des larves de cercopes, un insecte sauteur. Elles fabriquent cette "bave" : en brassant leurs déjections. On voit nettement les bulles d'air de ce crachat.
Ces crachats ont un double rôle : éviter le déssèchement de la larve et la protéger des prédateurs.
Voici un cercope adulte, Cercopis vulnerata . Peut-être est-ce cette espèce qui est à l'origine du crachat de coucou ? Difficile de le savoir.
Plusieurs espèces le fabriquent.
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